Lieux méconnus de Bruxelles
Lieux méconnus de Bruxelles : ces petits lieux qui procurent du sel à une visite
En général, les lieux méconnus (de Bruxelles) ne paient pas de mine. Vous passeriez à côté que vous ne les remarqueriez peut-être même pas. A plus forte raison que la plupart d’entre eux ne sont pas mentionnés dans les guides touristiques. Ou que dans le cadre de votre préparation de visite de Bruxelles, vous n’auriez pas certainement épinglé « ça ».
Mais de quoi il parle, là, notre guide touristique ?
De ces petits lieux mémoriels méconnus ; de ces endroits où la petite histoire de Bruxelles s’est écrite dans l’anonymat le plus complet ; de ces vestiges qui paraissent tellement anodins que personne ne s’y arrête.
Mais que je souhaite néanmoins vous présenter et mettre en valeur. Afin de vous inciter à pointer l’un ou l’autre de ces endroits dans votre Google maps lors de votre séjour à Bruxelles. Petits moments inédits, mais vrais, ô combien éloignés de Manneken Pis ou l’Atomium.
De quoi vous donner l’envie de suivre une visite guidée de Bruxelles en ma compagnie. Aussi. Quand même ! Non, mais des fois ! Allez, c’est parti pour la découverte des lieux méconnus de Bruxelles.
L’église Saint-Nicolas
Saint-Nicolas est omniprésent dans Bruxelles. Cela peut intriguer. Le saint patron des enfants n’avait pas qu’eux dans ses attributions : il avait plusieurs corporations dans son portefeuille ministériel. Découvrez-en plus ici.
Et puis l’église Saint-Nicolas recèle un souvenir pour le moins curieux dans un de ses murs.
La fontaine des aveugles
Contemporaine, mais d’inspiration breughélienne.
Elle-même se référant à une scène biblique.
Le tout récupéré par des ésotéristes en mal de justifications à leurs théories alchimiques sur la Grand-Place.
Mais que voilà un drôle de charabia.
Envie d’en savoir plus ?
La porteuse de lait
Mais que voilà une légende médiévale et bruxelloise qu’elle est toute mimi et ravit les familles ! Mais c’est qu’on lui donnerait le bon dieux sans confession, à cette petite. Sauf qu’en terme de confession, ce serait plutôt de cent confessions, qu’il faudrait parler. Ca y est, je vous vos yeux qui pétillent. Tous les mêmes, mes touristes : dès qu’on parle confesse …
en ligne le 18 septembre
La reconstitution d’un quai
Un chouette projet sérieux.
Des années de négociations. Inscrit dans le cadre de la gentrification de la ville. Une velléité d’imiter Bruges. Tout ça pour ça ? Triste. Regrets éternels.
Et pourtant, … c’était un chouette projet. Et c’est là que vous débuterez toute visite de Bruxelles en ma compagnie. Allez savoir pourquoi …
La tour noire
Ca c’est encore une histoire belge, qui régale mes amis Français.
La vision du patrimoine à la sauce du compromis. Ou comment un merveilleux vestige de la première enceinte de Bruxelles devient un renfoncement de mur d’hôtel … et un repère à toxicomanes.
Après sauvez Willy, il y aura bientôt, sauvez la porte noire !
Notre-Dame-de-Bon Secours
Celle-là, si vous la visitez en ma compagnie, vous n’en sortirez pas indemne ! Ce n’est pas une menace, c’est une promesse. 😈 On y parle du pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, du tracé de la Senne et … d’un clou perturbant !
Oui, oui, un clou. Mais qu’est-ce qu’il va encore nous chercher là, lui ? Un clou.
en ligne le 19 juin
La place royale
Point de passage. Souvent. Point d’arrêt. Rarement. Trop rarement. Cette merveille d’architecture néoclassique mérite un moment d’attention. A plus forte raison que cette place fut le siège du premier palais de la ville, le Coudenberg. Petit article pour découvrir cette place par trop méconnue des tour operator. Mais pas de votre guide !
en ligne le 1 juillet
Un vestige du mur d’enceinte
Ils sont si rares dans nos capitales européennes, les vestiges du 13ème siècle que ce serait bête de s’en priver. A plus forte raison qu’ils nous permettent de bien nous rendre compte de plusieurs choses quant à la défense d’une cité médiévale. Cerise sur le gâteau : à Bruxelles, on en a deux pour le prix d’un. A quelques pas l’un de l’autre !
en ligne le 23 juillet
La rue de Ruysbroeck
Anodine, banale, sans rien à voir. Pourquoi ferait-on le détour alors que le Sablon est parallèle à cette rue en pente. Peut-être justement parce qu’elle est en pente. Et puis, avez-vous remarqué ce superbe, heu, comment dire, cet extraordinaire idée de valorisation de la première enceinte ? Bon, je m’arrête ou je vais devenir caustique.
en ligne le 14 août
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